Le programme de conférences Autour est développé par Diagonale et proposé tout au long de l’année. Il se veut telle une invitation faite à des intervenants.es issus.es de champs d’expertises diverses, dans une perspective de mise en dialogue autour des enjeux soulevés par les expositions alors en cours.
#3
13.04.2023
Rencontre: "Le devenir humain à l'aune des éléments"
De 17h30 à 19h. En ligne
Le contexte de la crise environnementale, sans précédent, pose nombre de questions en regard de nos futurs incertains. Le malaise qu’elle suscite est pour certain·e·s nécessaire à l'incubation de nouvelles théories critiques visant à ontologiquement et épistémologiquement repenser une histoire du monde de tout temps phallocentrée, eurocentrée et coloniale. La rupture du lien entre l’humain·e et le biologique – par-là les univers vivants et non-vivants qui partagent des degrés d’existences et de savoirs distincts de ceux de l’humanité – est généralement pointée comme l’un des facteurs de cette dérive climatique qui concerne désormais toutes les espèces. Dans la foulée, différentes disciplines s’appliquent à sa réparation, redonnant à penser nos relations avec notre environnement et les êtres et choses avec lesquel·le·s nous cohabitons. Elles demandent communément: que sommes-nous, et comment redéfinir nos manières individuelles et collectives d’habiter le monde à l’aune de ce que ces autres éléments nous disent?
Proposée en périphérie des expositions "As The Days Move Into Nights" de Paul Maheke et "Three Scores for Dawn and Dusk" de Lou Sheppard, cette rencontre autour des recherches artistiques dernièrement présentées à Diagonale tend à donner un nouveau souffle à leurs échos sémantiques, réflexifs et théoriques. Accompagné·e·s de chercheur·e·s de divers horizons, nous souhaitons par cette discussion convier la parole et le discours scientifiques dans leurs retranchements spécifiques afin de créer un écosystème d'idées par lequel réimaginer nos appréhensions du monde.
Avec : Laurie Gagnon-Bouchard, Renato Rodriguez-Lefebvre, Miriam Sbih
Modératrice : Galadriel Avon
Lien Zoom : https://us06web.zoom.us/j/87836806264?pwd=VVhrK014NCtXVGdPUURucDJMMzNXZz09
Biographies
-
Renato Rodriguez-Lefebvre est auteur, chercheur, et traducteur improvisé au sein du département de langues modernes de l’Université de Montréal. Ses travaux s’articulent autour de l’origine des Amériques et de l’hybridation, croisant perspectives décoloniales, philosophiques et autochtones. Interpellé par les approches critiques revisitant les canons et les systèmes de connaissances occidentaux, il étudie entre autres, par le biais de la littérature, l’écriture du Soi et de l’Autre et les réseaux narratifs historiques qui impliquent des rapports de force entre dominé·e·s et logiques hégémoniques.
Laurie Gagnon-Bouchard est écoféministe, intellectuelle et militante. À partir d’une perspective alliant l’écoféminisme, la pensée décoloniale et les éthiques de la vulnérabilité, elle travaille sur les enjeux liés à la justice environnementale et aux conditions de solidarités et de coalitions face à la crise écologique. Elle enseigne à l’Institut de recherche et d’études féministes (IREF) de l’UQAM et est étudiante au doctorat en pensée politique à l'Université d'Ottawa.
Miriam Sbih est chercheuse et écrit. Ses réflexions portent sur les croisements entre la pensée spéculative, les perspectives décoloniales et les engagements affectifs et cognitifs que le geste de lecture suppose. Ses productions actuelles et intérêts personnels portent sur les possibilités de l’inconfort et de l’imaginaire afin de s’engager à déstabiliser matériellement nos ancrages au sein de paradigmes de pensée dominants. Elle est chargée de cours au département de Littératures et langues du monde de l’UdeM et est doctorante en littérature comparée.
Modératrice
-
Galadriel Avon est auteure, travailleuse de l’art et éditrice. Diplômée d’un baccalauréat en sciences politiques et philosophie de l’Université de Montréal, elle a parallèlement réalisé une mineure en histoire de l’art à l’UQAM et complète désormais un programme de deuxième cycle en étude de la pratique artistique à l’UQAR. Gravitant autour de centres d’artistes et de revues spécialisées, elle s’intéresse à la mobilisation des outils et concepts de la philosophie politique
dans la production de discours sur les arts. Elle est collaboratrice pour le journal Le Devoir et directrice de la revue d’écrits émergents sur les arts Ex_situ.
#2
3.06.2022
Rencontre: “Des états de corps du féminin : esthétique et politique”
De 18h à 19h. En galerie
“Des états de corps du féminin : esthétique et politique”
---------
Si le corps apparaît comme la condition de toute expérience (Merleau-Ponty, 1945), il est aussi le vecteur où se construit notre rapport au monde ainsi que “le lieu et le temps où le monde prend chair” (Le Breton, Anthropologie du monde et de la modernité, 2013, p.17). Le corps est saisi comme une construction sociale et culturelle, une “matière de symbole, objet de représentations et d'imaginaires” (Le Breton, Sociologie du corps, 1992, p.4). À travers lui, on s’approprie notre existence, investissant des espaces et engageant différents états de corps. Juxtaposant diverses corporéités qui tendent manifestement à questionner notre finalité. Le corps vu à la fois comme matière et médium est aussi le siège de multiples enjeux quand il est pensé et vécu au féminin. Des états variables qui interrogent les frontières ; entre dedans et dehors, de soi à l’autre ; entre intime et politique.
Cette rencontre qui est proposée en périphérie de l’exposition “Quelque chose comme” de Maude Bernier Chabot sera l’occasion d’entendre et de discuter avec Enora Rivière, chorégraphe et écrivaine autour des états de présence du corps dansant, Sara Danièle Michaud, autrice dont le dernier essai s’intéresse au devenir mère comme matière d’écriture et Thérèse St-Gelais, professeure en l’histoire de l’art l’UQAM, spécialiste du genre et du féminisme.
Biographie
-
Thérèse St-Gelais est professeure titulaire au département d’histoire de l’art et directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Elle enseigne l’histoire de l’art contemporain, l’apport des femmes aux arts visuels et à l’histoire de l’art et en études féministes aux cycles supérieurs. Elle est également commissaire d’exposition.
Enora Rivière collabore avec de nombreux artistes européens en tant que danseuse, dramaturge, répétitrice ou directrice de tournées. Elle signe des projets chorégraphiques et littéraires (ob.scène, et moteur) qui ont été présentés entre autres au OFFTA, au Festival Ardanthé à Vanves et au Théâtre de la Chapelle. Elle a été critique danse au Devoir et a écrit pour la revue Liberté. Au travers ses projets, Enora questionne la parole des danseur.ses comme espace politique et discours esthétique. Elle s’intéresse à la manière dont s’articule le corps et le langage, et plus précisément à nommer ce qui est constitutif des moteurs des gestes comme états de présence.
Sara Danièle Michaud a fait une thèse de doctorat en littérature comparée à l’Université de Montréal et des recherches postdoctorales sur l’écriture de la conversion à l’Université de Toronto (Écrire. Se convertir, Hashtag, 2018). Elle enseigne au cégep de Saint-Laurent et écrit. Son dernier essai, Cicatrices; Carnets de conversion est paru en janvier dernier. Elle s'intéresse à l’écriture comme axe essentiel – parce que performatif – de cette corporéité ambigüe propre au corps maternel/mystique. L’écriture s’installe dans le désoeuvrement du corps-mère, quand la sauvagerie quitte le corps pour se faire matière ailleurs.
13.04.2023
Rencontre: "Le devenir humain à l'aune des éléments"
De 17h30 à 19h. En ligne
Le contexte de la crise environnementale, sans précédent, pose nombre de questions en regard de nos futurs incertains. Le malaise qu’elle suscite est pour certain·e·s nécessaire à l'incubation de nouvelles théories critiques visant à ontologiquement et épistémologiquement repenser une histoire du monde de tout temps phallocentrée, eurocentrée et coloniale. La rupture du lien entre l’humain·e et le biologique – par-là les univers vivants et non-vivants qui partagent des degrés d’existences et de savoirs distincts de ceux de l’humanité – est généralement pointée comme l’un des facteurs de cette dérive climatique qui concerne désormais toutes les espèces. Dans la foulée, différentes disciplines s’appliquent à sa réparation, redonnant à penser nos relations avec notre environnement et les êtres et choses avec lesquel·le·s nous cohabitons. Elles demandent communément: que sommes-nous, et comment redéfinir nos manières individuelles et collectives d’habiter le monde à l’aune de ce que ces autres éléments nous disent?
Proposée en périphérie des expositions "As The Days Move Into Nights" de Paul Maheke et "Three Scores for Dawn and Dusk" de Lou Sheppard, cette rencontre autour des recherches artistiques dernièrement présentées à Diagonale tend à donner un nouveau souffle à leurs échos sémantiques, réflexifs et théoriques. Accompagné·e·s de chercheur·e·s de divers horizons, nous souhaitons par cette discussion convier la parole et le discours scientifiques dans leurs retranchements spécifiques afin de créer un écosystème d'idées par lequel réimaginer nos appréhensions du monde.
Avec : Laurie Gagnon-Bouchard, Renato Rodriguez-Lefebvre, Miriam Sbih
Modératrice : Galadriel Avon
Lien Zoom : https://us06web.zoom.us/j/87836806264?pwd=VVhrK014NCtXVGdPUURucDJMMzNXZz09
Biographies
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Renato Rodriguez-Lefebvre est auteur, chercheur, et traducteur improvisé au sein du département de langues modernes de l’Université de Montréal. Ses travaux s’articulent autour de l’origine des Amériques et de l’hybridation, croisant perspectives décoloniales, philosophiques et autochtones. Interpellé par les approches critiques revisitant les canons et les systèmes de connaissances occidentaux, il étudie entre autres, par le biais de la littérature, l’écriture du Soi et de l’Autre et les réseaux narratifs historiques qui impliquent des rapports de force entre dominé·e·s et logiques hégémoniques.
Laurie Gagnon-Bouchard est écoféministe, intellectuelle et militante. À partir d’une perspective alliant l’écoféminisme, la pensée décoloniale et les éthiques de la vulnérabilité, elle travaille sur les enjeux liés à la justice environnementale et aux conditions de solidarités et de coalitions face à la crise écologique. Elle enseigne à l’Institut de recherche et d’études féministes (IREF) de l’UQAM et est étudiante au doctorat en pensée politique à l'Université d'Ottawa.
Miriam Sbih est chercheuse et écrit. Ses réflexions portent sur les croisements entre la pensée spéculative, les perspectives décoloniales et les engagements affectifs et cognitifs que le geste de lecture suppose. Ses productions actuelles et intérêts personnels portent sur les possibilités de l’inconfort et de l’imaginaire afin de s’engager à déstabiliser matériellement nos ancrages au sein de paradigmes de pensée dominants. Elle est chargée de cours au département de Littératures et langues du monde de l’UdeM et est doctorante en littérature comparée.
Modératrice
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Galadriel Avon est auteure, travailleuse de l’art et éditrice. Diplômée d’un baccalauréat en sciences politiques et philosophie de l’Université de Montréal, elle a parallèlement réalisé une mineure en histoire de l’art à l’UQAM et complète désormais un programme de deuxième cycle en étude de la pratique artistique à l’UQAR. Gravitant autour de centres d’artistes et de revues spécialisées, elle s’intéresse à la mobilisation des outils et concepts de la philosophie politique
dans la production de discours sur les arts. Elle est collaboratrice pour le journal Le Devoir et directrice de la revue d’écrits émergents sur les arts Ex_situ.
#2
3.06.2022
Rencontre: “Des états de corps du féminin : esthétique et politique”
De 18h à 19h. En galerie
“Des états de corps du féminin : esthétique et politique”
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Si le corps apparaît comme la condition de toute expérience (Merleau-Ponty, 1945), il est aussi le vecteur où se construit notre rapport au monde ainsi que “le lieu et le temps où le monde prend chair” (Le Breton, Anthropologie du monde et de la modernité, 2013, p.17). Le corps est saisi comme une construction sociale et culturelle, une “matière de symbole, objet de représentations et d'imaginaires” (Le Breton, Sociologie du corps, 1992, p.4). À travers lui, on s’approprie notre existence, investissant des espaces et engageant différents états de corps. Juxtaposant diverses corporéités qui tendent manifestement à questionner notre finalité. Le corps vu à la fois comme matière et médium est aussi le siège de multiples enjeux quand il est pensé et vécu au féminin. Des états variables qui interrogent les frontières ; entre dedans et dehors, de soi à l’autre ; entre intime et politique.
Cette rencontre qui est proposée en périphérie de l’exposition “Quelque chose comme” de Maude Bernier Chabot sera l’occasion d’entendre et de discuter avec Enora Rivière, chorégraphe et écrivaine autour des états de présence du corps dansant, Sara Danièle Michaud, autrice dont le dernier essai s’intéresse au devenir mère comme matière d’écriture et Thérèse St-Gelais, professeure en l’histoire de l’art l’UQAM, spécialiste du genre et du féminisme.
Biographie
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Thérèse St-Gelais est professeure titulaire au département d’histoire de l’art et directrice de l’Institut de recherches et d’études féministes à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Elle enseigne l’histoire de l’art contemporain, l’apport des femmes aux arts visuels et à l’histoire de l’art et en études féministes aux cycles supérieurs. Elle est également commissaire d’exposition.
Enora Rivière collabore avec de nombreux artistes européens en tant que danseuse, dramaturge, répétitrice ou directrice de tournées. Elle signe des projets chorégraphiques et littéraires (ob.scène, et moteur) qui ont été présentés entre autres au OFFTA, au Festival Ardanthé à Vanves et au Théâtre de la Chapelle. Elle a été critique danse au Devoir et a écrit pour la revue Liberté. Au travers ses projets, Enora questionne la parole des danseur.ses comme espace politique et discours esthétique. Elle s’intéresse à la manière dont s’articule le corps et le langage, et plus précisément à nommer ce qui est constitutif des moteurs des gestes comme états de présence.
Sara Danièle Michaud a fait une thèse de doctorat en littérature comparée à l’Université de Montréal et des recherches postdoctorales sur l’écriture de la conversion à l’Université de Toronto (Écrire. Se convertir, Hashtag, 2018). Elle enseigne au cégep de Saint-Laurent et écrit. Son dernier essai, Cicatrices; Carnets de conversion est paru en janvier dernier. Elle s'intéresse à l’écriture comme axe essentiel – parce que performatif – de cette corporéité ambigüe propre au corps maternel/mystique. L’écriture s’installe dans le désoeuvrement du corps-mère, quand la sauvagerie quitte le corps pour se faire matière ailleurs.
#1
10.03.2022
Rencontre: “Remettre en acte : mémoires, territoires et potentiels narratifs”
De 17h à 18h30. En ligne
Les objets issus des nations autochtones apparaissent comme des témoins d’une tradition, d’un héritage, d’un territoire physique intérieur et imaginaire. Porteurs d’histoires plurielles, le statut et la valeur de ces artefacts changent, dépendamment du contexte de représentation, ce qui n’est pas sans conséquences pour les identités et cultures autochtones. Alors que les objets peuvent être considérés comme des lieux de mémoire et de savoir, comment sont-ils mis en dialogue dans leurs contextes de présentation et selon quels récits ?
Cette rencontre est proposée en périphérie de l’exposition “Manidoowegin” de Maria Hupfield et sera l’occasion d’entendre différentes intervenantes présenter leur projet de recherche et leur démarche:
Redonner vie aux objets - Elisabeth Kaine
Elisabeth Kaine de la nation wendate est professeure associée et cotitulaire de la chaire Unesco La transmission culturelle chez les Premiers peuples comme dynamique de mieux-être et d’empowerment. Fondatrice de la Boite rouge VIF et de Design et Culture matérielle, elle participe en tant que commissaire à différents projets d’expositions dont au Musée McCord portant sur les Premiers Peuples.
L’esprit des objets comme moyen de décolonisation et d’autochtonisation des espaces d’exposition - Marie-Charlotte Franco
Marie-Charlotte Franco est allochtone, muséologue, chargée de cours et chercheuse postdoctorale au Centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones (CIÈRA).
Objets sacrés, matières vivantes - Eruoma Awashish
Eruoma Awashish de la nation Atikamekw Nehirowisiwautour, est artiste multidisciplinaire chercheuse, commissaire et membre du collectif Dimes Project, mentoré par Maria Hupfield. La décolonisation du sacré est au cœur de sa pratique.
-
Diagonale tient à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Kanien’keha:ka (Mohawks), qui a longtemps servi de lieu de rassemblement et d’échange entre les nations.
10.03.2022
Rencontre: “Remettre en acte : mémoires, territoires et potentiels narratifs”
De 17h à 18h30. En ligne
Les objets issus des nations autochtones apparaissent comme des témoins d’une tradition, d’un héritage, d’un territoire physique intérieur et imaginaire. Porteurs d’histoires plurielles, le statut et la valeur de ces artefacts changent, dépendamment du contexte de représentation, ce qui n’est pas sans conséquences pour les identités et cultures autochtones. Alors que les objets peuvent être considérés comme des lieux de mémoire et de savoir, comment sont-ils mis en dialogue dans leurs contextes de présentation et selon quels récits ?
Cette rencontre est proposée en périphérie de l’exposition “Manidoowegin” de Maria Hupfield et sera l’occasion d’entendre différentes intervenantes présenter leur projet de recherche et leur démarche:
Redonner vie aux objets - Elisabeth Kaine
Elisabeth Kaine de la nation wendate est professeure associée et cotitulaire de la chaire Unesco La transmission culturelle chez les Premiers peuples comme dynamique de mieux-être et d’empowerment. Fondatrice de la Boite rouge VIF et de Design et Culture matérielle, elle participe en tant que commissaire à différents projets d’expositions dont au Musée McCord portant sur les Premiers Peuples.
L’esprit des objets comme moyen de décolonisation et d’autochtonisation des espaces d’exposition - Marie-Charlotte Franco
Marie-Charlotte Franco est allochtone, muséologue, chargée de cours et chercheuse postdoctorale au Centre interuniversitaire d’études et de recherches autochtones (CIÈRA).
Objets sacrés, matières vivantes - Eruoma Awashish
Eruoma Awashish de la nation Atikamekw Nehirowisiwautour, est artiste multidisciplinaire chercheuse, commissaire et membre du collectif Dimes Project, mentoré par Maria Hupfield. La décolonisation du sacré est au cœur de sa pratique.
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Diagonale tient à souligner que les terres sur lesquelles nous sommes rassemblés font partie du territoire traditionnel non cédé des Kanien’keha:ka (Mohawks), qui a longtemps servi de lieu de rassemblement et d’échange entre les nations.