Suivez nos actualités / Follow us!
DIAGONALE
  • ACCUEIL
  • Diagonale
    • Présentation
    • Équipe et partenaires
    • Informations pratiques
    • Louer Diagonale
  • ACTIVITÉS + APPELS DE DOSSIERS
    • En cours
    • Programme de conférences AUTOUR
    • Projets spéciaux >
      • Résidences
      • Résidence internationale
      • Diagonale + Mains d’Œuvres
      • La Soupée
    • Exposition - bénéfice >
      • 2024
      • 2023
      • 2022
      • 2021
      • 2020
      • 2019
      • 2018
      • 2017
      • 2016
      • 2015
      • 2014
    • Appels de dossiers
    • Archives >
      • 2024/2025
      • 2023/2024
      • 2022/2023
      • 2021/2022
      • 2020/2021
      • 2019/2020
      • 2018/2019
      • 2017/2018
      • 2016/2017
      • 2015/2016
      • 2014/2015
      • 2013/2014
      • 2012/2013
      • 2011/2012
      • 2010/2011
      • 2009/2010
      • 2008/2009
  • Soutenez Diagonale
    • Adhésion
    • Bénévolat
  • English
    • Diagonale
    • Current exhibition
    • AROUND Lectures Series
    • Special Projects >
      • Residencies
      • International Residency
      • Diagonale + Mains d’Œuvres
      • La Soupée
    • Fundraising Exhibition >
      • 2024
      • 2023
      • 2022
      • 2021
      • 2020
      • 2019
      • 2018
      • 2017
      • 2016
      • 2015
      • 2014
    • Call For Submissions
    • Exibitions & Prix Diagonale archives
    • Staff and Partners
    • Practical Information
    • Support Us / Donate
ARCHIVES
2024/
2025

- - - - - - - - - - - - - - - - - -






Image
Ingrid Lyons, Súgan I, paille, dimensions variables, 2024







​


​AUTOUR DE L'EXPOSITION

RENCONTRE D'ARTISTES
19.04, 15h

Avec: Nicolas Desverronnières, Ingrid Lyons,
​Jonathan “radbwa faroush” Mayers, Lucie Rocher

​
Les artistes de l'exposition présenteront "Entre chien et loup" et les oeuvres qui la compose.

À noter: La discussion aura lieu en français et en anglais.
​
    
ENTRE CHIEN ET LOUP 
Avec: Nicolas Desverronnières, Ingrid Lyons,
​Jonathan 
“radbwa faroush” Mayers, Lucie Rocher
12.04-31.05

Vernissage, 12.04 de 14h à 17h + performances à 15h



La corde est un objet formé de plusieurs brins tressés ensemble pour ne former plus qu’un. Un assemblage de différentes matières textiles qui, sans perdre leur individualité, offrent une nouvelle densité et lecture au tout, une fois liées.
 
À l’image de celle-ci, Entre chien et loup est une exposition collective qui propose de lier quatre artistes issus de divers horizons géographiques et plastiques dont le point de convergence fut la rencontre. Une rencontre au cœur de l’espace-temps privilégié de la résidence et du narratif qui peut s’écrire entre celles·eux qui expérimentent cette mise en tension du travail et de l’intime ; cette quotidienneté unique qui s’empare des corps individuels pour en faire corps collectif.
 
C’est au printemps 2022 que Nicolas Desverronnières (FR), Ingrid Lyons (IE), Jonathan “radbwa faroush” Mayers (US) et Lucie Rocher (CA) se retrouvent plusieurs mois résidant·e·s du centre Est-Nord-Est (CA). Y naissent peu à peu des échanges fertiles autour des pratiques et des concepts de chacun·e·s, puis le désir de faire perdurer ces conversations et la proximité qui s'est alors créée entre elles·eux, par l’entremise d'une autre forme de faire et de penser ensemble.
 
Si les pratiques sont bien singulières et propres à chacun·e, une porosité s'opère dans la mise en espace et la volonté de repousser les territoires cloisonnant au cœur de Diagonale. Les œuvres respirent mais s’entrecroisent. Déployées en suspension, au mur et au sol, certaines sont directement issues des discussions collectives de 2022, et d’autres, marquées plus indirectement puisque générées individuellement à huis clos. Bois, peintures, photographies, tissus, récits, post-colonialisme, enjeux environnementaux, traditions… les médiums sont protéiformes tout comme les concepts pluriels, même si certains de ces derniers traversent plusieurs pratiques.
 
Chaque artiste offre ses familiers à la nouvelle collectivité et, par le fait même, au public montréalais. Le paysage représenté sous les traits de sculptures en bois ou pyrogravées de Nicolas Desverronnières côtoient les photographies d’environnements naturels et construits mis en tension sur soie et verre par Lucie Rocher; le folklore et la filiation emprunts de récits se déclinent dans les propositions picturales et sculpturales de Jonathan “radbwa faroush” Mayers puis sous formes de batiks et d’artefacts chez Ingrid Lyons. Un langage visuel trouvant continuité dans l’oralité puisque Mayers et Lyons donneront deux performances le jour du vernissage. Poèmes en kouri-vini (créole louisianais) et compositions sonores raisonneront alors successivement dans la salle d’exposition pour poser le préambule d’Entre chien et loup qui choisit de donner à voir un dialogue plastique et humain voire amicale entre des artistes, à une époque où les enjeux sanitaires mondiaux ont malmené le vivre-ensemble tangible et où l’immatériel numérique favorise l’entre-soi.


​
​
Vues de l'exposition "Entre chien et loup", Diagonale, 2025 © Lucie Rocher

Image
Ryth Kesselring, "Partition graphique VI", 2020









Image
conférence

RYTHÂ KESSELRING
1.03, 15h


Diagonale reçoit Rythâ Kesselring pour une présentation publique de sa pratique et de l'exposition en cours "Echos; distorsions sonores et motifs géométriques".








​Bon à savoir
​-

Le "Volet soutenance - artistes de la relève" vise à mettre en lumière des artistes en arts visuels et médiatiques qui présentent leur exposition de Maîtrise ou des jeunes diplômé·e·s d’un an et moins, dans le cas d'une première exposition solo.
​exposition
- volet soutenance / artistes de la relève


ECHOS; DISTORSIONS SONORES
ET MOTIFS GEOMETRIQUES

RYTHÂ KESSELRING
17.01-1.03


Vernissage, 17.01 à 17H




Adoptant des méthodes plurielles, la pratique de Ryth Kesselring vise à établir une relation entre le potentiel d’archivage des objets textiles et les souvenirs émergeants d’éléments sonores. L’artiste s’intéresse aux motifs et aux structures qui composent le tissu ainsi qu’aux rythmes qui émanent des différentes époques caractérisant une civilisation. Travaux d’aiguille, broderie ou tissage renferment, selon Kesselring, l'histoire d'une communauté et son adaptation à son environnement. À ceci s’ajoute la collecte de données scientifiques telles que les informations météorologiques, botaniques et sonores d’un site spécifique, pour nourrir son processus créatif.  

En puisant dans ses familiers, l’exposition Echos ; distorsions sonores et motifs géométriques propose aux visiteur.euse.s de traverser les recherches théoriques et formelles de Kesselring depuis leurs prémisses. Celles-ci prennent dans l’espace l’apparence d’œuvres tissées minimalistes et d’écosystèmes déformés intégrant plantes et sons de la nature. Des pièces mises en dialogue autour de l’impact de la monoculture sur la biodiversité et l'environnement sonore d'un lieu.

En effet, avec cette proposition, Ryth Kesselring met en lumière l’imbrication profonde de nos rythmes de vie contemporains avec un modèle colonial et capitaliste marqué par une volonté de domination et d’optimisation de la terre ainsi que des êtres vivants qui l’habitent. L’artiste déplore plus particulièrement la gestion homogénéisée du territoire par l'adoption de méthodes ou de politiques similaires pour différents espaces, sans tenir compte de leurs spécificités culturelles, sociales, ou environnementales. Des décisions qu’elle juge prises à partir de modèles standardisés, souvent imposés par des autorités ou des structures étatiques, au détriment d’approches locales. 

En parallèle mais non sans résonance, Kesselring attire également notre attention sur la façon dont notre dépendance au numérique influence nos actions sur la nature, qui à leur tour rétro-alimentent nos pratiques technologiques.

Ainsi, Echos ; distorsions sonores et motifs géométriques se déploie sous les traits d’une passionnante installation qui examine l’interconnexion entre les dynamiques naturelles et les logiques de contrôle transformatrices de notre rapport au monde. Une partition musicale qui traverse le temps tel un écho passant d’une subtile cadence ancestrale au rythme frénétique et répétitif de notre époque cartésienne.
Vues de l'exposition "Echos ; distorsions sonores et motifs géométriques" de Ryth Kesselring, Diagonale, 2025 © Mike Patten

Image
Vue de l'exposition PURPLE RAIN de Raùl Aguilar Canela, Diagonale, 2024 © Mike Patten









AUTOUR DE L'EXPOSITION
.....

CONVERSATION
19.10, de 14h à 15h (en anglais)
​
Raúl Aguilar Canela et Marx Ruiz-Wilson se retrouvent pour une rencontre publique au cœur de "PURPLE RAIN". Cette discussion sur l'exposition et la pratique de Canela sera suivie d'une période d'échanges avec le public.


À propos de Marx Ruiz-Wilson
Marx Ruiz-Wilson
 est un commissaire basé à Montréal et ancien directeur et fondateur de la galerie TAP, une galerie d’art contemporain dédiée à l’amplification des voix diverses dans les pratiques artistiques contemporaines. Avec des expositions mettant en vedette des artistes de divers horizons, Marx a créé une plateforme favorisant l'inclusivité et le dialogue. Il est aussi le fondateur du IntoThis Podcast, où il interviewe des figures clés de la scène artistique internationale. Son travail continue de repousser les limites et d'enrichir les conversations au sein du paysage artistique canadie
n.

​

​
PURPLE RAIN
Raúl Aguilar Canela

​06.09 - 19.10

Vernissage - 06.09

​
Purple Rain questionne l’existence d’un équilibre dans un monde dicté par la circulation et l’accumulation effrénées de biens, où les relations sociales sont galvaudées par les technologies et l’hyperconnectivité. Inspiré d’émotions a priori intimes bien qu’universellement partagées, Raúl Aguilar Canela poursuit sa recherche de métarécits sondant la tristesse comme sentiment collectif. L’exposition explore les états d’âme de Purple, personnage fictif maniaco-dépressif, à travers la peinture sur tissu, la sculpture sur bois et l’écriture libre pour exprimer la complexité de l’affliction. 
​
Les tableaux et collages imprimés directement sur d’anciens t-shirts et accessoires décomposés, teints puis assemblés racontent la fluctuation permanente des affects du protagoniste. Le processus de transformation de ces vêtements usagés en nouvelles pièces narratives, de pair avec l’hétérogénéité de leurs styles – usant d’images tantôt humoristiques, tantôt underground – sont autant de preuves que l’identité et la mémoire sont mouvantes, sans cesse réinventées. Ces toiles sont déposées sur des montants savamment brûlés et patinés, de sorte à sculpter la matière en profondeur. En explorant l’absorption de l’encre par le textile et du feu par le bois et en s’affranchissant des limites imposées par ces supports, l’artiste fait valoir leurs similarités avec les êtres humains : les corps perméables sont pénétrés et imprégnés par leur environnement qui les altère bien au-delà de la surface. Relié par des chaînes ornées de gadgets mélancoliques et de pendentifs gravés, ce réseau d’installations évoque l’aliénation à laquelle nous assujettit le système néolibéral capitaliste et les répercussions de
celui-ci sur la santé mentale. 

Pour accompagner ce corpus, Aguilar Canela propose un court pamphlet. À mi-chemin entre une fiction ancrée dans un univers alternatif chimérique et une ingénue entrée de journal intime, le dépliant oscille entre les phases hautes et les phases basses de Purple. Euphorie, anxiété. Excitation, apaisement. Productivité, épuisement. Détermination, apathie. Ce texte nous entraîne dans le vortex des ressentis tumultueux du protagoniste, à l’origine de sa détresse émotionnelle. À moins que ce ne soit la nôtre ? Difficile à dire, car quoi de plus collectivement personnel que le chagrin ?




​

Vues de l'exposition "PURPLE RAIN" de Raùl Aguilar Canela, Diagonale, 2024 © Mike Patten















​
Propulsé par Créez votre propre site Web à l'aide de modèles personnalisables.